Quelques extraits du livre :
Notre intelligence est-elle réellement… intelligente ?
Comment est-elle née, comment s’est elle développé et pourquoi ?
Du raisonnement à la cognition biomécanique, un lien commun et des interactions qui se dessinent entre tous les domaines, spécificités, situations, environnements, individus, entités et l’espèce humaine dans son ensemble.
Bienvenue dans une autre dimension :
La puissance de l’influx entre l’esprit et le corps
« Le cerveau, un joyau intelligemment complexe »
Hodosnyia se positionne comme partenaire d’une nouvelle méthode d’élaboration pour l’optimisation cognitive biomécanique. Cette approche explore ses multiples spécificités et applications dans divers domaines, situations et environnements,
du raisonnement aux gestes les plus précis.
Une nouvelle approche de l’optimisation générale cognitive bio-mécanique.
Quelques citations tiré du livre :
« Nous forgeons nos corps et nos esprits au feu de notre volonté, persuadés d’optimiser notre mental, sans réellement comprendre ce que nous faisons. Cette ignorance pourrait bien nous conduire à la contradiction, synonyme d’erreur
et, par conséquent, de contre-performance. »
« Si l’être humain se perd en réfutant le pessimisme tout en redoutant l’optimisme, que lui reste-t-il à espérer ? Resterons-nous aussi ignorants jusqu’à la fin ? »
« je reste moi-même , c’est le prix a payer mais c’est aussi ma victoire »
Complexe et vital
« Un jeu sans fin, où l’humain n’aura jamais le dernier mot sur sa raison d’être. Tant qu’il y aura des questions, il y aura des manques, donc des contradictions, et vice versa. Si vous comprenez pleinement ce que vous faites, alors vous le maîtrisez. Dans le cas contraire, l’incertitude peut durer très longtemps, voire indéfiniment. »
« Lorsque nos ancêtres pensaient avoir une avance sur nous, aujourd’hui, nous pensons en avoir tout autant sur eux. Voilà un phénomène qui semble simple à comprendre à première vue, mais qui s’avère très difficile à expliquer. Même
une bibliothèque sur plusieurs étages, remplie de livres, ne suffirait pas.
Constatons ensemble le résultat depuis la création : ne pas avoir bien compris ce qu’on croit comprendre, ne pas avoir bien calculé ce qu’on croit avoir calculé, ne pas avoir bien dit ce qu’on croit avoir dit, ne pas avoir bien fait
ce qu’on croit avoir fait, et ne pas avoir maîtrisé ce qu’on croit avoir maîtrisé.
Expliquer ce qu’on croit comprendre devient alors une tâche d’une extrême complexité, risquant de durer indéfiniment. À cela s’ajoute le déséquilibre causé par l’avidité humaine, un déséquilibre qui, malheureusement, ne fait que commencer.
»
« Deux formes de stupidité nous induisent constamment en erreur : la nôtre et celle des autres. Si, en plus, nous avons le défaut de ne pas nous remettre souvent en question, nos objectifs et projets, ainsi que ceux de nos enfants,
en souffriront. »
« Notre esprit, toujours aussi ignorant, jadis, lorsqu’une grande partie des gens ne comprenait ni ne maîtrisait un phénomène social, scientifique ou méthodique, l’imputait systématiquement, soit au diable, à la sorcellerie ou à Dieu. Aujourd’hui, ce sont le stress, le hasard et la génétique qui servent de boucs émissaires. Demain, qu’en sera-t-il ? Si seulement ces sujets avaient la parole, il serait moins facile pour leurs accusateurs de les blâmer. Mais en cherchant à dissimuler leur ignorance, ils révèlent en réalité leur impuissance. »
Préface
Ce texte est à lire avec précaution et discernement. Il ne prétend pas offrir une vérité absolue ou définitive, mais constitue le fruit d’une expérience personnelle, qui pourrait ajouter une pierre à l’édifice en cours et contribuer,
à son tour, au développement d’autrui. Il a également vocation à être contredit, car seule la critique constructive et la remise en question permettent de faire progresser les idées.
Ce préambule propose un tour d’horizon de l’état d’esprit cognitif et évolutif du genre humain, à travers une histoire oscillant entre le bien, le mal, et une perpétuelle remise en question. Il fait lui-même partie de ce processus,
tout en représentant un mea culpa adressé à notre mère nature.
Ce condensé des différentes parties développées dans ce livre explore la contradiction sous toutes ses formes : des plus simples aux plus complexes, des plus futiles aux plus importantes. Il aborde aussi les défis liés à la remise
en question, notamment dans des contextes où les nombreux éléments pluridimensionnels, parfois invisibles, façonnent nos raisonnements et nos spécificités. Ces éléments incluent des mécanismes complexes qui influencent notre compréhension
du monde et ses interactions les plus subtiles.
L’ouvrage se distingue par son style unique, issu d’un état d’esprit différent. Il illustre comment, malgré nos ressemblances, nos différences subsistent jusqu’à se manifester dans des contradictions profondes. Ce texte mêle narration,
discernement et arguments, élaborés avec soin pour analyser ce monde et ses multiples facettes.
Il examine également les relations entre individus, entités, civilisations, continents et pays. S’appuyant sur les neurosciences comportementales et cognitives, il offre une réflexion sur les mécanismes du raisonnement, immergés dans
les multiples étapes et situations psychosociologiques de nos environnements. Structuré autour d’un texte principal enrichi de développements complémentaires et pédagogiques, il suit une trame qui reflète la logique de ce monde,
parfois attribuée au hasard ou à un mektoub déguisé, où chaque entité interactive a contribué à façonner l’histoire humaine.
Le livre inclut également des citations, des éléments de sociologie, un poème métaphorique empreint de métaphysique et d’émotions, ainsi qu’une touche d’humour. Il y a un peu de ce que j’ai vu, de ce que j’ai vécu, et de ce que j’ai
compris.
Il traite en profondeur de notre rapport à l’intelligence, en interaction constante avec nos modes de vie et leurs nombreuses différences, en perpétuelle évolution. Il explore comment ces interactions entre environnements, spécificités
et situations engendrent souvent des contradictions. Ces contradictions peuvent à leur tour générer mensonges et conflits, à l’origine de contre-performances, d’erreurs individuelles et collectives. Ces erreurs provoquent des divisions,
affaiblissant les cohésions sociales, communautaires et civilisationnelles.
Enfin, il souligne que la remise en question peut parfois fermer des portes, mais peut aussi en ouvrir d’autres, grâce à ceux qui font preuve d’ouverture d’esprit, d’instruction et de modernisme. Avec le plus grand respect pour nos
ancêtres, qui ont œuvré pour faire progresser les sciences au service du bien-être de toutes les générations, ce texte espère contribuer à ce même progrès.
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,Pourquoi cherchons-nous souvent à comprendre la cognition (notre intelligence) sans prendre en compte sa bio-mécanique , inversement ?
À quoi sert-elle réellement ?
Pourquoi et comment sommes-nous devenus intelligents, et le sommes-nous réellement ?
La cognitive bio-mécanique est à la base de nombreux éléments, stratégies, systèmes, et processus complexes. Dans quelles entités ne trouvons-nous pas de bio-mécanique cognitive et ses mécanismes ? Ces derniers incluent le raisonnement,
les gestes, les facultées, les capacités, les mouvements et mécanismes les plus logiques et précis.
Que vous soyez en quête d’une idée, d’une analyse, d’une solution, ou que vous travailliez, étudiiez, pratiquiez un sport, ou vous engagiez dans un projet à ses débuts, à son milieu ou à son aboutissement, vous utilisez toujours la
biomécanique cognitive. Elle est activée, volontairement ou non, selon votre potentiel de base. C’est elle qui vous a façonné, tout comme certaines élaborations et inventions .Elle participe a toutes les réalisations possible
la concernant.
Pourtant ,dans la réalité de notre quotidien,nous l’utilisons trop souvent de manière, désordonné et aléatoirement,pourquoi tant d érreurs ? ..
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Il se trouve parfois que nous agissions ou disions des choses qui nous paraissent en partie vraies ou presque. Cela est dû au frôlement d’infimes fragments de vérité des vraies méthodes, sans s’en rendre vraiment compte, ou d’infimes
fragments identiques aux vrais, mais appartenant parfois aux mauvaises méthodes, nous laissant croire être sur le bon chemin. Cependant, on ne peut les comprendre que si l’on sait ou accepte qu’elles existent (comme les différents
symptômes des maladies qui se ressemblent sans avoir les mêmes origines ou encore l’humain et ses semblables).
Car, contrairement à celles qui sont vraies, dont les effets sont immédiats et constants, en résumé, nous devons faire la différence entre trois aspects : effets, illusions, méthodes, produits par les interactions des éléments et les
phénomènes qui ne nous facilitent pas la tâche. Telle une personne enfermée dans une grotte obscure avec un infime petit rayon de lumière, dont elle ne connaît ni le cheminement ni la source, et dont elle se sent complètement dépendante
dès le début. Elle l’utilise comme une bouée de sauvetage, continuant à tâtonner pour en comprendre l’essence, en attendant d’être sûre ou que quelqu’un vienne avec la vraie lumière naturelle d’une réelle solution.
La même rencontre de la méthode du feu et de l’homme était la bonne, cette fois, paradoxalement à d’autres qui l’ont induit en erreur pendant un certain temps ou en celles qu’il a crues et comprises des milliers d’années plus tard.
Je vous laisse le soin de comprendre le retard, le désordre et la difficulté dans lesquels il va baigner d’époque en époque jusqu’à ce qu’il découvre son propre désastre. Cela ne nous rappelle-t-il pas l’ignorance ? Alors, notre
intelligence n’est pas si intelligente ; sinon, l’aboutissement devrait être parfait.
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Le mimétisme est un phénomène naturel, connu, utilisé par tous. Cependant, il est composé de multiples facettes, à la fois négatives et positives, dans différents domaines. Il se peut que vous vous contentiez de peu. Remarquez son
évolution à travers le parcours d’un enfant jusqu’à l’âge adulte, et vous comprendrez pourquoi il est essentiel de le comprendre afin d’éviter de perdre du temps, notamment en raisonnement. Beaucoup de personnes copient les autres
sans réaliser qu’elles ont souvent tort, un fait qu’elles admettent difficilement.
Ce syndrome est dû à l’ignorance, mais ne croyez pas qu’il soit le fruit d’une volonté maîtrisée. Parfois, il se manifeste sans raison valable, mais en définitive, toutes ces raisons appartiennent à l’ignorance. Le reste relève de
la connaissance, mais encore faut-il en être sûr. Car la connaissance précise est le plus grand des joyaux, un trésor rare.
N’importe qui ne peut pas la saisir simplement par envie ou curiosité. Pourtant, nous continuons à y croire, souvent par conviction, qu’il s’agisse d’un défaut ou d’une qualité, ce qui peut nous induire en erreur en raison même de
l’ignorance. Connaître quelque chose ou un élément, mais à quel degré ? Dans cette incommensurabilité, la connaissance précise reste le joyau suprême, le plus haut degré, qui nous placera parmi ceux qui maîtrisent, ne serait-ce qu’en
partie, les éléments, leurs rôles et leurs fonctionnements. Et il faut toujours rester proche de la remise en question, car rien n’est acquis, même à l’infini.
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